Profil d’un duo piquant !

C’est grâce au pouvoir du web que je suis tombée sur LA SAUCE MONTRÉAL, une compagnie toute nouvelle et quand je dis nouvelle, on parle de quelques mois à peine. J’ai été « flabergastée » par l’histoire de ce couple d’entrepreneurs aux cerveaux créatifs. 

Nouvellement fiancé depuis décembre dernier, ce couple début trentaine a aussi bénéficié de la magie des z’internets pour se rencontrer, le destin avait certainement envie qu’ils se rencontrent, puisque pendant des années, ils ont fréquenté les mêmes lieux ainsi que les mêmes amis.

C’est le mariage parfait de leur personnalité qui est certainement à l’origine du succès de LA SAUCE. Je t’amène à la découverte de Nolan et Élise :

De ce que j’ai compris, le domaine de la restauration et de l’alimentation fait partie de vos vies depuis longtemps, je suis curieuse d’en apprendre encore plus sur vos parcours professionnels respectifs :  

Élise: Nolan a fait ses débuts à 16 ans et s’est lancé à temps plein en 2016, au pizzeria No. 900. Il a ensuite été au Neoteca Monza pizzeria moderna, au OMG burger puis Ô Chevreuil (à Sherbrooke). Ensuite il est revenu vivre à Montréal et à travaillé entre autres au Bungalow sur Mont-Royal E et finalement à la taverne St-Sacrement.  

De mon côté, j’ai été bartendresse et serveuse à partir de l’âge de 23 ans. J’ai commencé à la commission des liqueurs, puis au Loup-Garou, ensuite dans le groupe Antonopoulos, aux quartiers Belle Gueule, etc. 

Nous avons aussi eu des carrières dans d’autres domaines aussi à travers cela. Jusqu’à l’an dernier, j’étais chargé de projet en événementiel et Nolan a été charpentier-menuisier jusqu’en mars dernier. 

Quel a été l’élément déclencheur ? Qu’est-ce qui vous a fait dire «BON OKAY ON SE LANCE» en entrepreneuriat ? 

Nolan : J’ai toujours trippé sur les sauces piquantes sans aller plus loin que ça…  Mais pendant la pandémie, disons que j’ai eu pas mal de temps libre. J’en ai profité pour expérimenter la fermentation et faire quelques créations de recettes de sauces piquantes. J’ai fait goûter à mon entourage et le monde a vraiment trippé ! Petit à petit j’ai reçu des commandes. J’ai même été embauché pour faire des événements d’huîtres où on les servait avec mes sauces. Mais porter tout ça seul en travaillant à temps plein, c’était juste trop…

Élise : De mon côté j’ai toujours rêvé d’avoir mon entreprise, mais le domaine était toujours un peu flou pour moi. Puis mon emploi a fermé ses portes le 20 décembre 2021 à cause de la pandémie. C’est à ce moment-là que Nolan et moi nous sommes assis et avons sérieusement discuté de lancer LA SAUCE ensemble. Depuis ce jour-là on n’a pas arrêté puisque ça se passe bien! 

Aviez-vous le rêve d’avoir votre entreprise ensemble depuis longtemps ? 

Élise : Depuis littéralement notre rencontre haha! Nolan a vraiment pleins d’idées ultra intéressantes et qui sortent des sentiers battus. C’est une des choses qui m’a séduite chez lui d’ailleurs. Je me souviens que quelques mois à peine après notre rencontre on passait des soirées à brainstormer ensemble. Nous étions sur une belle lancée pour une entreprise dans le domaine de l’événementiel, puis la pandémie a frappé… 

Nolan : Avec du recul, on est heureux que les choses se soient passées comme ça. Dans le sens que ça nous a permis d’élaborer l’entreprise que nous avons actuellement. Nous sommes des gens assez festifs et avec LA SAUCE nous sommes en train de développer un volet événements spéciaux. Ce qui nous permet d’exploiter un peu les idées que nous avions eu en 2019-2020. 

Quelles sont vos formations (cours en entrepreneuriat / cuisine ou autre) ? 

Nolan : Formation sur le terrain! J’ai eu la chance de travailler avec différentes personnes remplies de talent. J’ai pu apprendre énormément grâce à eux. Je suis également nouvellement coaché par l’École des entrepreneurs du Québec jusqu’en mars 2023. 

Élise : Comme je disais tantôt, Nolan est hyper créatif et bourré de talent. Il n’a pas peur d’explorer et de sortir des sentiers battus et on le constate quand il cuisine. De mon côté, après avoir pris la décision de me joindre à LA SAUCE, j’ai fait des démarches et je suis actuellement coaché par l’École des entrepreneurs du Québec, dans le cadre d’une mesure appelée “ Soutien aux travailleurs autonomes”. Nolan s’est joint à moi dans cette mesure il y a une semaine. Sinon j’ai mon background de chargé de projet qui est très utile, mettons! Vivement les compétences transférables!

Qu’est-ce qui vous rend le plus fier d’avoir fait le grand saut ? 

Élise : Honnêtement, le fait que ça fait seulement 14 semaines que le projet est officiellement lancé et que ça fonctionne si bien déjà ! 

Nous sommes déjà sur les tablettes de deux épiceries Metro sur le Plateau Mont-Royal, dans d’autres commerces spécialisés, entre autres la microsouderiez Chez Piko, restaurants et bars (Le Grand Lionel, Pincette,etc.) on est même rendu à Drummondville au Rose café (sérieux vous devez aller là-bas, ils ont une salle à manger dans une serre pis toute!)  

Actuellement nous sommes en train de développer des événements d’huîtres signés LA SAUCE en collaboration avec des restaurateurs à Montréal.  

On commence à en faire tous les mercredis dès le 8 juin à la Grocerie située au 1276 Av. Laurier E. Huître à 2$ shucké par Nolan avec notre table LA SAUCE et nos produits en vente sur place, belle ambiance sur la terrasse, bref, de beaux happenings estivals comme on les aiment ! Tout ça en 14 semaines…!  

À quel moment est-ce que l’attrait pour la sauce piquante est-elle entrée dans vos vies ? 

Nolan : Depuis des années ! On aime essayer toutes sortes de sauces et surtout encourager local. On trouvait que souvent, soit les sauces étaient ULTRA puissante donc on ne goûtait plus rien ou inversement, que les sauces étaient délicieuses, mais peu piquantes… L’idée de commencer à faire des sauces est née un peu de ça : créer des sauces qui balancent la saveur et la chaleur. Jusqu’à maintenant, je pense que ça se passe assez bien.  

Qu’est qui vous rend unique vous et votre entreprise ? 

Nolan : Le produit en tant que tel. Il se démarque au premier coup d’œil et il se vend de lui-même. Ce sont des produits de qualité, naturels, végétaliens, savoureux et qui s’incorporent dans littéralement TOUT. 

Élise : Je pense aussi que Nolan y est pour beaucoup : son approche et son style font en sorte que lorsqu’on se présente quelque part, il se fait adopter sur-le-champ, c’est impressionnant.  Sinon notre image de marque ressort du lot selon moi. 

Nolan : Haha! J’avoue qu’on ressort du lot un peu juste de par notre look et notre attitude. Par exemple, lors de notre dernier marché, Élise avait les cheveux roses, moi j’ai quand même quelques tatous, on a emmené notre propre musique, ça se voit qu’on a du fun ensemble et qu’on est heureux dans ce qu’on fait. Je crois que le mix de tout ça attire énormément les gens. On s’est fait dire une coupe de fois que “ le party était ici”!

Dans vos vies personnelles, qu’est-ce qui pimente votre quotidien ? 

On est assez festif, donc inutile de mentionner que nous aimons beaucoup sortir prendre un bon verre et bien manger. Sinon nous aimons beaucoup les excursions spontanées : on embarque dans l’auto et on ne sait pas où on s’en va mais on finit toujours par découvrir une belle adresse ou par faire une activité inusitée. 

Quel est le plus grand défi rencontré jusqu’à présent ? Et comment l’avez-vous réglé ? 

Élise : Il y en a eu une couple… ! Nous faisons TOUT nous-mêmes et sérieusement c’est de l’essai-erreur. Mais pour répondre à ta question, hands down, notre plus gros problème et qui nous a coûté TRÈS cher c’est nos é-ti-qu-ettes. 

On est encore en train de dealer avec ça ! Nous ne sommes ni designers graphique ni infographes.

Donc imagine les deux bines, en train de créer un logo, designer des étiquettes de sauces piquantes. En plus, qui doit marcher sur un format de flasque. Bref, nous attendons notre commande de l’imprimeur et on se croise les doigts que cette fois-ci sera la bonne et qu’aucun détail ne nous a échappé !! 

Y a-t-il une phrase que vous vous répétez souvent et pourquoi ? 

Élise : On a full d’inside et de petits gestes pour se supporter mutuellement mais je pense que la phrase qui revient le plus souvent c’est “we tired but we got this!” Parce qu’on n’arrête pas, on est brûlé mais on trippe sur ce qu’on fait. 

Qu’est-ce qu’on vous souhaite pour les années à venir tant personnellement que professionnellement ?   

Distribuer nos sauces partout et avoir une foule de partenariats avec les restaurateurs et bars, et que notre entreprise nous permette de vivre une belle vie ensemble !

  Livrez-vous partout à travers le Québec ? Comment peut-on se procurer les produits ? 

Élise : Je suis contente que tu me poses la question, car au tout début, l’objectif était de vendre principalement en ligne partout au pays. Puis, plus nous avancions, plus on se rendait compte que nous voulions être sur les tablettes des magasins et être incorporées dans les menus des restaurants. Alors j’ai comme mis sur pause un peu l’élaboration de la boutique en ligne et on se concentre sur la distribution en magasin. 

Actuellement, nous sommes disponibles aux adresses suivantes : 

  • Chez Piko, 367 Dultuh E, Montréal 
  • Metro Bigras, 2008 rue Gauthier, Montréal 
  • Metro Laurier, 1293 Av. Laurier E, Montréal 
  • Le Grand Lionel, 3234 Beaubien E, Montréal 
  • Rose Café Drummond, 210 Bd. Lemire O, Drummondville 
  • Au restaurant La Grocerie situé au 1276 Laurier E, tous les mercredis nous avons nos événements d’huîtres et les gens peuvent se procurer nos produits sur place. 

Sinon Nos produits sont incorporés dans les menus de ces restaurants du vieux-Port de Montréal :  

  • Dégustez un Bloody Caesar vert, avec notre sauce Jalapeno & Aneth à la dinette Marcella situé au 363 St-François-Xavier, Montréal (c’est un tout nouveau resto dans le vieux-port) 
  • Vous pouvez aussi aller boire des oysters shots avec notre sauce à l’ananas ou notre sauce Habasco au restaurant Pincette situé au 94 Saint-Paul E, Mtl.  

  Nous avons d’autres adresses qui s’ajouteront très bientôt, il faut nous suivre sur Instagram @lasauce.mtl et ou Facebook @lasaucemtl pour rester à l’affût des nouvelles ! Et bien sûr, les informations se retrouvent également sur notre site web : www.lasaucemtl.com 

Merci Élise, Merci Nolan d’avoir pris le temps dans cette aventure qu’est le début d’une entreprise, le vent est dans vos voiles et j’espère avoir la joie de vous croiser lors de l’un de vos évènements ! Comme l’a si bien dit Élise, je vous suggère d’aller les suivre, ce n’est pas plate pantoute de voir leur actualité passer !

Profil d’un fumant entrepreneur 

C’est au Grand Marché de Québec que j’ai eu le bonheur de rencontrer Philippe Boisvert, un entrepreneur PA.SSI.OOOO.NNÉ.

Il m’a tout de suite conquise par son charisme et son énergie à revendre. Le Gardien du feu, comme il se fait appeler, occupe le plancher de son commerce comme personne. À droite, à gauche, près du frigo, à la dégustation… il est partout et il accueille ses convives comme si l’on entrait « chez lui »… tel un Ninja.

Viande fumée, épices délicieuses, marinades… et mon coup de cœur la moutarde aux pickles (que tu retrouveras dans ma recette de tartare de bœuf et poireaux fris) … font partie de l’éventail de produits savoureux que FUMÉE NINJA offre en vente à même leur boutique ou encore par la magie des Z’internets. 

J’ai eu envie de découvrir qui se cache derrière cette entreprise à la fumante énergie.

Voici donc l’entrevue que j’ai eu le plaisir de réaliser avec lui ! 

Dis-moi, je suis curieuse, as-tu toujours habité la ville de Québec ? 

Non, je suis natif de Princeville où j’y suis demeuré avec mes parents jusqu’à mon cégep. 

À 17 ans, je suis déménagé à La Pocatière pour y faire des études en agriculture. Je suis par la suite déménagé à Québec pour lancer ma 1re entreprise en 2006. 

Entre-temps, je suis déménagé à Mtl, puis retourné à Rivière-du-Loup pour finalement revenir ici, à Québec.

Quel est ton parcours professionnel, il me semble avoir compris que la création de ton entreprise (Fumée NINJA) était toute récente, raconte-moi ce que tu faisais avant :

J’ai un DEC en productions animales de l’ITA de La Pocatière, mais à la fin de mes études, j’ai fait un cours en radio/télévision et démarré mon entreprise en gestion d’événements. 

J’ai travaillé à la radio de Rivière-du-Loup pendant 3 ans pendant que j’opérais mon entreprise avec un partenaire (Diffusion Xtreme). Donc de 2006 à 2009 j’étais à RDL et autour de 2010 j’ai décidé de revenir habiter à Québec et de me consacrer à temps plein sur mon entreprise (qui à changer de nom pour DX Design à ce moment).

Donc nous avons fait de 2010 à 2015 de la gestion d’événements en tout genre pour en 2015 se positionner comme la référence en location de décor et mobilier événementiel (qui a changé de nom pour devenir DX – Mobilier Événementiel).

C’est à partir de ce moment que ma carrière entrepreneuriale s’est développée. Nous avons eu des croissances annuelles se situant entre 30 et 45% par année. Nous avons ouvert des bureaux/entrepôts à Montréal et Ottawa tout en ayant notre siège social à Québec.

Notre équipe était formée d’une centaine d’employés lors des saisons fortes. Nous étions une référence en mobilier haut de gamme et sur mesure pour les événements corporatifs majeurs. Notre force était notre service et notre promesse de marque (Le ZeroFail) qui permettaient au client de payer ce qu’il voulait sur sa facture s’il y avait un ‘fail’ causé par notre équipe ou nos équipements. 

Ça nous poussait à nous dépasser et devenir meilleurs de jour en jour.

Puis… la Covid est arrivée, le business à crashée, mon partenaire a déclenché la clause ‘shotgun’ et j’ai quitté l’entreprise.

J’ai voulu faire une autre acquisition d’entreprise avec des joueurs clés de mon ancienne entreprise, mais rien n’était à vendre. Tout était en stand-by ou maintenu artificiellement en vie par les subventions ou divers programmes. Je suis un passionné dans la vie et pas mal autodidacte.

Je chasse, je pêche, je fais ma boucherie et depuis une dizaine d’années je fume ma viande. J’ai donc décidé de repartir une « start-up » en janvier 2021. FUMÉE NINJA

« Pour moi, dans la vie il faut que ça bouge et rien ne bougeait, j’ai donc provoqué les choses. »

Est-ce que tu avais le rêve d’être «à ton compte» depuis longtemps ? 

Non, je n’y ai jamais rêvé. Mon père a eu une mauvaise expérience entrepreneuriale et ne m’a jamais poussé ou motivé en ce sens. Je suis « capable »de travailler pour d’autres personnes. Ce n’est pas un désir intrinsèque d’être libre et être mon propre patron. Je ne considère pas être un boss qui bosse mais je sais que je possède le leadership requis pour être le gardien de la vision d’une entreprise. Cependant, en tant qu’entrepreneur, j’aime laisser ma marque, faire différent (disruptor), créer, bâtir une équipe, développer des visions et apprendre chaque jour.

As-tu été te perfectionner (suivre des cours en entrepreneuriat / cuisine ou autre) ? 

En cuisine, boucherie, charcuterie, non. Je cuisine au son, à l’œil et au goût haha. 

Par contre, en entrepreneuriat, je me suis donné la chance de faire le programme Élite de l’École d’Entrepreneurship de Beauce et je dirais que ça a changé ma vie personnellement et professionnellement.

Qu’est-ce que signifie « Fumée NINJA » ? 

FUMÉE car pratiquement tout est fumé sur nos fumoirs à feu de bois d’érable. NINJA : Dans mon ancienne vie, j’aimais être entouré de mes joueurs clés qui m’épataient chaque jour et que j’appelais mes ‘Ninjas’. Avec mon passé où j’allais souvent en Asie, j’ai beaucoup apprécié leur bouffe, leurs épices, leurs saveurs, leur fraîcheur.

Autre point, www.fumee.com n’était pas dispo et www.fumee.ninja oui. Et au final, une des raisons d’être de Fumée Ninja est son côté festif et le ‘fun’. J’aime amuser et mettre un sourire dans le visage des gens et Fumée Ninja provoque un sourire en coin.

Y a-t-il une phrase que tu ou te répètes souvent et pourquoi ?

J’ai la chance de repartir à zéro une entreprise. Je veux que cette aventure soit le plus possible à mon image avec des partenaires, une équipe et des fournisseurs qui partagent mes valeurs qui sont autour du plaisir, du partage, de la simplicité et de vouloir faire une différence.

 Je ne réponds pas bien à ta question, mais si j’avais à y répondre rapidement, je te dirais : « Qu’est-ce que je peux faire de beau/bon avec ça ? »

 Dans le sens de mettre à profit des « bad lucks » qui m’arrivent ou de voir comment on peut travailler avec nos pertes pour en faire un produit à succès par exemple.

Qu’est qui te rend unique toi et ton entreprise ?

Je dirais que je travaille plus à bâtir une culture autour d’un brand que des produits, qui seront uniques. Je m’explique, oui je fais de bons produits, mais plusieurs autres transformateurs en fond aussi des bons. 

J’essaie d’être différent par mes mélanges d’épices, mes produits de provenances locales, mes produits fumés autres que la viande (compote de pommes, caramel, graines et noix, …), mon type de fumoir et mes recettes gourmandes. Je trouve que le BBQ fait ici au Québec s’inspire énormément de la cuisine américaine.

Cependant, je considère que notre « palais » est un peu plus « français ». Nous aimons manger chaud, remplis de saveurs et avec une meilleure finition des plats. J’essaie, à ma manière, d’agrémenter le tout avec une tournure plus locale et québécoise. Après tout, nos artisans d’ici produisent tellement de beaux produits de qualité.

Je suis de ceux qui croit plus à la pérennité et au développement d’une entreprise qui va miser sur le développement autour de l’expérience que les gens auront à achetant les produits/services que le produits/services en lui-même. Donc, je tiens à créer cet univers/communauté ‘’Fumée Ninja’’ où les gens sont festifs, ont du plaisir à se rassembler et sont gourmands. Je pense que cette façon de voir les choses me différenciera et surpassera les produits offerts.

Qu’est-ce qu’on te souhaite pour les années à venir tant personnellement que professionnellement ? 

Perso, je te dirais d’être capable de rendre le business autonome du côté opérationnel de façon à passer plus de temps de qualité en famille et me permettre de prendre ces moments de recul qui sont créatifs. 

Professionnellement : Bâtir une équipe de passionnés meilleurs que moi et dont je suis fier de voir croître dans la vision de Fumée Ninja. Trouver plusieurs points de vente qui partagent les mêmes valeurs que nous afin de faire grandir notre rayonnement et donc notre communauté.

On peut suivre les aventures fumantes de Philipe et son crew de NINJAS : 

https:\/\/goutezlequebec.com//goutezlequebec.com//www.facebook.com/fumeeninja

Grand Marché de Québec
250M Boulevard Hamel
Québec, QC G1L 5A7